Au fond de l’azur, rien. Les ténèbres, la nuit qui n’en finit pas. Dans l’espace le silence. Enfin presque…le souffle du vent. Celui que j’aime tant. Celui qui balaie tout. Tout ce qui est inutile. Celui qui nettoie. Sur la plage, des bouts de bois jonchent le sol. Je me demande…d’où viennent ils? Combien de temps ont-ils flotté avant de venir ici s’échouer. Je me perds en suppositions, des côtes espagnoles ou bien peut-être d’Afrique. Mon lointain pays choisi.